Sur invitation de Valérie GOMEZ-BASSAC (à gauche), députée de notre circonscription, Sophie CLUZEL, secrétaire d'Etat aux personnes handicapées (masque transparent) est venue discuter du problème des décharges illégales en se rendant sur la décharge illégale du Castellet.
Cela s'est passée vendredi matin 23 avril 2021 - 7h45, RV au domaine la Suffrene ou nous avons été accueillis par son propriétaire Cédric GRAVIER président de l'association des Vins de Bandol et
par Maurice SILVESTRI (domaine Lou Capelan), avant de nous rendre sur les hauts de la décharge par le chemin de Cuges.
Les causes des décharges illégales en résumé : insuffisamment de décharges pour professionnel, taxations trop élevée, ... le tout mis en regard avec des propositions illégales bon marchés et un
contrôle encore aléatoire incite certains professionnels a décharger illégalement. Les collectivités, de la commune jusqu'à la région ont, chacune, une part de responsabilité dans le domaine des
décharges.
2ème sur la gauche, J'ai eu le plaisir de partager ce moment avec Hervé MICHAUT deuxième sur la droite. Nous sommes tous deux adhérent de l'ARCADE et militant LREM.
Marcel SIMON
26 nov. 2019 - La lettre économique et politique de Presse agence PACA
Merci à Catherine, Danielle, Jacqueline, Jeanne qui ont
transmis les articles ci-dessous et Véronique ci-dessus
21 nov. 2019 : Article France Bleu Quatre personnes en garde à vue, les gendarmes (GIR) ont perquisitionné en force , les scellés sont mis. Ce n'est pas encore gagné, mais cela en prend tournure.
Résumé ci-dessous des actions de l'Arcade en remboursement des missions non satisfaisantes de Me Piasecki, en charge du dossier Décharge du Castellet jusqu'au 19
mars 2019. Pour le détail des courriers du contentieux voir dans dossiers en cours le dossier décharge et l'onglet "contentieux Piasecki"
191017 L. ARCADE au Bâtonnier - réponse à lettre de Me Piasecki |
191007 L. Bâtonnier à ARCADE - transmet lettre réponse de Me Piasecki |
190713 L. ARCADE au Bâtonnier - dossier de demande de récupération partie commission |
190423 L. ARCADE à l'avocat J.P. - réitère demande de remboursement 1000 € |
190412 L. avocat J.P. à ARCADE - décompte des honoraires proposition propose remb. de 180 € |
190410 L. ARCADE à avocat J.P. - demande de remboursement de 1000 € sur les 1500 versés |
181116 Convention forfaitaire signée entre Me Piasecki et l'ARCADE |
181116 facture de Me Piasecki de 1500 € en règlement des tâches de l'étape 1 de la convention |
04/04/2019
Le dossier "Décharge Castellet" est confié à Me Régis Durand
19/03/2019
Me Piasecki est déchargé de l'affaire "Décharge du Castellet "pour laquelle il avait été mandaté par l'Arcade en Novembre 2018.
Le dossier "Décharge Castellet" est de ce fait restitué à M.Simon contre décharge signée
Août 1991...c'était hier !!!!!!!!!!! et le verre de pastis en 2018 toujours aussi trouble.
Mars 2018
Viticulteurs et riverains manifestent au Castellet contre une immense décharge sauvage
Des agriculteurs exploitent les terres qu'achète le conseil général
Nice-matin Dimanche 21 décembre 2008
C'est un flanc de colline pierreux, jonché d'un tapis anarchique de jeunes pousses et de troncs calcinés. Là, sur la commune du Castellet, 30 hectares seront prochainement remis en état par le conseil général - terrassés, labourés, puis confiés à des agriculteurs de la commune pour un loyer minimum. Au milieu d'un espace naturel sensible, ravagé par les incendies à répétition, ils y planteront vignes, oliviers, amandiers ou légumes. Cela faisait des décennies que cette terre, jadis cultivée, désormais désolée, n'avait plus vu la moindre salade ou le début d'un pied de vigne.
Parcelles si rares
Depuis des années, le Département mène une énergique politique d'acquisitions des terres exposées aux incendies ou à la frénésie immobilière. Toutefois, rares sont les sites dont la gestion a été confiée aux agriculteurs varois. A ce jour, sur les 11 500 hectares acquis dans 260 sites par le conseil général, seules 50 parcelles ont été laissées à l'agriculture. Le plus souvent, elles sont offertes à des éleveurs qui y font circuler et paître les troupeaux. Au final, à peine 0,32 % de ces espaces accueillent des plantations.
C'est dire si le projet du Castellet, soutenu par la conseillère générale et députée UMP Josette Pons, présente un profil original. Après des décennies d'urbanisation, l'initiative permettra aux agriculteurs de se réapproprier un peu du sol varois. « C'est un projet ambitieux », confirme Rodolphe Moudat, un jeune maraîcher qui devrait récupérer un à deux hectares sur le site. Surtout que trouver une terre, dans cette zone où règnent en maîtres les vins de Bandol, « c'est quasiment mission impossible », explique-t-il. Sans oublier que « beaucoup de gens préfèrent geler leurs terrains en espérant qu'ils deviennent un jour constructibles »...
« Comme un héritage »
Avec ces nouvelles terres, Rodolphe Murat devrait pouvoir accroître son activité et intensifier la livraison de paniers « de saison » dans la région. Il a été choisi par appel d'offres, ainsi que cinq autres agriculteurs, et attend désormais de prendre possession de sa parcelle. Mais la procédure est longue et fastidieuse, la remise en état du terrain plus coûteuse que prévue et techniquement complexe.
Un bureau d'études spécialisé, chargé des relevés topographiques et de la préparation du site, devrait prochainement créer une parcelle d'échantillonnage où seront évalués le rendement de la terre et le type de plantations adaptées. Ensuite, de plus importants travaux pourront débuter.
Ces délais décourageraient presque certains agriculteurs, pourtant volontaires au lancement de l'opération il y a deux ans. « Pour l'instant, la colline, c'est toujours de la pierre », s'impatiente Franck Jourdan, qui projette de cultiver des céréales. « On commence à avoir des doutes. » Rodolphe Moudat préfère, lui, conserver l'optimisme des débuts. « C'est un énorme chantier, cela prend du temps, mais l'opération mérite d'être défendue. »
Marc Martin-Escoffier, qui attend cinq hectares pour planter des oliviers, comprend lui aussi les retards. « Il ne faut pas se presser pour un tel projet. C'est presque comme un héritage », explique-t-il. Le jeune agriculteur estime que la puissance publique lui fait un joli « cadeau ». « Pouvoir disposer de cinq hectares où il ne reste plus qu'à planter, où on vous amène l'eau, c'est plus qu'intéressant, poursuit-il. Si je l'avais fait moi-même, cela aurait pris cinq ans. Alors on peut bien attendre un peu. »
Nice-Matin
Le 23 Février 2010 la DDTM confirme que 2 PV ont été dressés, l'un par la mairie du Castellet, l'autre par la DDEA à l'encontre de X et que les procédures ont été transmises au parquet
Le temps passe.........................................................................et le paysage évolue
22 Mars 2010 Lettre RAR au Maire du Castellet
5 Mai 2010 Réponse du Maire de la Cadière
Réponse (sans date) du Maire du Castellet
30 Mars 2010 Réponse de la police du Castellet
Une procédure initiée en 2007.
Initiée sans doute, mornée sûrement.
20 Avril 2011 Lettre RAR au Maire du Castellet suite à entretien du 16 Avril 2011
De bonnes intentions...pour endiguer les dérives du futur. Celles du passé....IGNOREES !
Février 2016................Inspection d'une société établie sur le site de "La Capucine"
Mai 2016............................Les rotations de poids-lourds n'ont guère cessé, ils s'amplifient
Septembre 2016 .......Le BTP nouveau bientôt sur vos tables ? Appellation Origine Castellane
Février 2018... la justice se resaisit, le règne de Ponce-Pilate touche-t-il à sa fin ?